Notre ignorance commune

À la question de l’existence de Dieu, précise Schmitt, répondre avec rigueur exige de toujours commencer par « je ne sais pas ». Le croyant ajoutera qu’il croit que oui, l’athée qu’il croit que non, et l’indifférent qu’il s’en moque.de l’article du Devoir par Louis Cornellier, La foi ignorante d’Eric Emmanuel Schmitt, 14 novembre 2015 Que penses-tu de... Lire la Suite →

Il ne faut pas avoir honte du doute

Alors on fait quoi? On abandonne? On laisse le doute nous mener à une poursuite plus profonde, plus honnête et plus près de ce qui est vrai? La foi peut-elle grandir dans le doute? Est-ce que suivre Jésus nécessite toujours la certitude?

Une brebis, une pièce d’argent, un enfant

Il y a quelques semaines, j'ai décidé de retourner à l'église. Je n'y étais pas allé en personne depuis plus de deux ans. Je peux blâmer le COVID pour cela, mais j'étais heureux de cette excuse.

Le Commis

Je me suis demandé récemment si on ne prend pas au sein du « monde de Dieu » une place qui ne nous appartient pas. Par exemple, si on croit en un Dieu créateur (donc très compétent) et vivant – pourquoi devons-nous toujours parler pour lui, le défendre et fournir autant d’explication à sa place et en son nom? Est-ce que ce rôle nous appartient? 

Je le veux, je ne le veux pas, je le veux

En fin de compte, je pense que je crois toujours en Dieu. Pas d'une manière " j'en suis certain ", mais mon âme a toujours envie que ce soit vrai (vous savez, comme un cerf assoiffé, un truc du genre). Je crois toujours à la bonne nouvelle de la grâce, du pardon et du renouvellement de toutes choses. Pas dans le sens de 4 lois spirituelles, tu es dedans ou tu es dehors, mais dans le sens d'un simple "oui, quelque chose ne tourne pas rond dans notre humanité et aussi étonnant que puisse être notre connaissance scientifique croissante, elle ne répond pas à tout".

Propulsé par WordPress.com.

Retour en haut ↑

%d blogueurs aiment cette page :